Bannis des Etats-Unis après leur sortie de prison, ces Cambodgiens se retrouvent dans un pays qu’ils ne connaissent pas. Depuis 2002, une loi sur la double peine permet l’expulsion de résidents permanents américains, et l’administration Trump accélère la cadence. Paris Match a rencontré certains de ces déportés à Phnom Penh.
1 200 travailleurs du textile en grève ont été licenciés vendredi. Seuls les syndicats progouvernementaux ont droit de cité. La création d’entreprise est elle aussi soumise à la corruption et à l’appartenance politique.
Dans un communiqué publié lundi, le ministère des Affaires étrangères déclare : “Afin de promouvoir davantage la démocratie et l’état de droit, l’Assemblée nationale révise actuellement les dispositions légales en vue de permettre aux exclus de la politique de reprendre leurs activités publiques.” Assouplissement Le porte-parole de l’Assemblée nationale, Leng Peng Long a déclaré que les membres de la principale force d’opposition du pays actuellement interdits...
Un nouvel article du P. Ashley Evans, sj, tiré de son blog "Gaudium Mundi". Given the serious accusations of involvement in corruption, torture and extra-judicial killings by senior members of the Cambodian security in this Human Rights Watch report, is it not surprising that the Government reaction has been so muted? Human Rights Watch recently produced a detailed report on twelve senior generals of the Cambodian Army, Gendarmarie and Police forces. They added the provocative title...