Par Arnaud Vaulerin, envoyé spécial à Phnom Penh — 6 janvier 2019 à 20:16
A l’image de sa capitale, Phnom Penh, le royaume, qui commémore ce lundi les 40 ans de la fin du génocide khmer rouge, est en pleine transformation. Mais malgré les progrès économiques, les inégalités s’accroissent, tandis que la mémoire des crimes de l’ancien régime communiste est reléguée au second plan.
Des dizaines de milliers de Cambodgiens se sont rassemblés lundi dans un stade de Phnom Penh pour célébrer le quarantième anniversaire de la chute du régime des Khmers rouges, une grand-messe orchestrée par l'inamovible Premier ministre Hun Sen.